jeudi 24 avril 2008

La Nuit Blanche


Derrière The Munich Machine, se cache Giorgio Moroder.

On a même pas besoin de le lire pour le savoir, ca s'entend au premier coup d'arpégiateur. 

Sous ce pseudo, un album de disco moroderienne avec des violons et des gros charleys, qui n'atteint certes pas la perfection de From Here To Eternity ou l'universalité de Chase, mais voila Giorgio reprend Also Sprach Zarathurstra de Strauss, le thême emblématique de 2001: l'Odyssée de l'Espace de Kubrick. Et le résultat est génial:


Sinon, la nouvelle signature de Warp, les australiens Pivot, c'est vraiment du Battles en moins bien. Rien de plus. Et vu qu'on voit mal comment il pourrait surpasser Battles en live, pour moi la messe est (presque) dite...

J'aimerais bien que Warp resigne un truc vraiment terrible, parce que à part !!!, depuis quelques années les nouvelles recrues (Maximo Park, Grizzly Bear, Flying Lotus,...) c'est pas dément.


Aucun commentaire: